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🎹 Quand les tableaux se mettent à chanter

Parfois, un tableau n’attend pas qu’on le dĂ©crive.

Il souffle un titre, impose une atmosphĂšre.

Et parfois, il murmure une mélodie.


đŸŒŹïž Le vent, le renard et la belle

Dùs que le titre m’est venu, j’ai entendu une chanson bretonne.


Pas celle que l’on connaĂźt, "Le loup, le renard et la belette", mais une autre — nĂ©e de mon pinceau.


Si ma belle Ă  la lanterne avait Ă©tĂ© sur la cĂŽte, elle aurait pu ĂȘtre une naufrageuse —

mais elle avait l’air d’ĂȘtre une amoureuse.

Son renard n’est pas un prĂ©dateur, mais un compagnon,

qui la suit, veille sur elle en secret


Elle, en marchant, elle rĂȘve de son capitaine, dont elle attend le retour du navire, sous la lune.


Et le vent, capricieux, disperse les repĂšres.


đŸŽ¶ Cette peinture s’écoute.

J’ai Ă©crit les paroles,

puis j’ai laissĂ© l’intelligence artificielle de Suno me souffler une mĂ©lodie.

Une ballade est née.

Elle est venue habiter l’image.


🌊 Qui, comme Ulysse

Tout est parti d’un visage immense, dont s’éloigne un nageur.

J’ai su qu’il s’agissait d’Ulysse.

Il quittait une emprise douce mais insistante.

Une figure fĂ©minine l’accompagnait du regard —mĂ©lange de CircĂ©, de Calypso


Et le tĂ©moin de cette scĂšne ne pouvait ĂȘtre qu’une sirĂšne.

J’ai imaginĂ© qu’elle chantait.

Car une sirùne sans chant, ce n’est pas possible.

LĂ  encore, j’ai Ă©crit.

Et Suno a prĂȘtĂ© sa voix Ă  mes mots et mes pinceaux.


✹ Deux tableaux, deux chants venus du vent

Ces deux Ɠuvres chantent leur histoire.

Elles sont faites pour ĂȘtre regardĂ©es, Ă©coutĂ©es, ressenties.

Et peut-ĂȘtre, rĂ©inventĂ©es

par celui ou celle qui les croise.

 
 
 

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