🎨 Quand les tableaux se mettent à chanter
- ghlemp
- 23 juin
- 2 min de lecture
Parfois, un tableau n’attend pas qu’on le décrive.
Il souffle un titre, impose une atmosphère.
Et parfois, il murmure une mélodie.
🌬️ Le vent, le renard et la belle
Dès que le titre m’est venu, j’ai entendu une chanson bretonne.
Pas celle que l’on connaît, "Le loup, le renard et la belette", mais une autre — née de mon pinceau.
Si ma belle à la lanterne avait été sur la côte, elle aurait pu être une naufrageuse —
mais elle avait l’air d’être une amoureuse.

Son renard n’est pas un prédateur, mais un compagnon,
qui la suit, veille sur elle en secret…

Elle, en marchant, elle rêve de son capitaine, dont elle attend le retour du navire, sous la lune.

Et le vent, capricieux, disperse les repères.
🎶 Cette peinture s’écoute.
J’ai écrit les paroles,
puis j’ai laissé l’intelligence artificielle de Suno me souffler une mélodie.
Une ballade est née.
Elle est venue habiter l’image.
🌊 Qui, comme Ulysse
Tout est parti d’un visage immense, dont s’éloigne un nageur.

J’ai su qu’il s’agissait d’Ulysse.
Il quittait une emprise douce mais insistante.
Une figure féminine l’accompagnait du regard —mélange de Circé, de Calypso…
Et le témoin de cette scène ne pouvait être qu’une sirène.
J’ai imaginé qu’elle chantait.
Car une sirène sans chant, ce n’est pas possible.
Là encore, j’ai écrit.
Et Suno a prêté sa voix à mes mots et mes pinceaux.
✨ Deux tableaux, deux chants venus du vent
Ces deux œuvres chantent leur histoire.
Elles sont faites pour être regardées, écoutées, ressenties.
Et peut-être, réinventées
par celui ou celle qui les croise.






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